dernier jour d'un condamne
Intro : C’est un extrait de la préface du roman « Dernier Jour d’un condamné » écrit en 1832 par Victor Hugo qui est un auteur engagé contre la peine de mort. Cette préface sert à nous faire réfléchir au sujet de l’atrocité de la peine capital.
Problématique : Que penser de la peine de mort ?
Pour que son texte soit lu par tout le monde, il utilise un langage courant, facile à lire.
Plusieurs point de vue sont utilisés.
Ex : lignes 1 à 53 et 62 à 105 l’auteur a un point de vue externe ligne 54 à 31 et 106 à la fin l’auteur s’adresse à nous donc discourt direct (pronom utilisé « nous, vous » .
Développement :(ex : ligne 30 à 53) L’auteur utilise une description concernant l’exécution violente et horrible d’un condamné à mort ainsi que l’acharnement du bourreau (ex : rehisse ,le couteau retombé et retomba) Si bien que même la foule prend pitié du condamné . Il fait une description pour donner une idée exacte de la souffrance du condamné et ne nous épargne pas de l’horreur de la scène en utilisant le champ lexical de l’horreur = sanglant, sa tête à demi coupée, entaille l’homme sans le tuer, ruisseau de sang, le couteau remonté et remonta cinq fois etc.
Il utilise le présent de narration pour mettre en relief des évènements importants et veut nous faire prendre conscience que c’est un acte horrible.
La peine de mort sert à tuer des gens même quelquefois des innocents.
L’auteur se pose des questions sur l’utilité de la peine de mort, il nous implique dans sa réflexion et il propose des solutions (ex : Elle ne doit pas punir pour se venger. Elle doit corriger pour améliorer.) et que malgré la peine de mort il y aura toujours des crimes.
Victor Hugo développe l’idée que l’exemple d’une condamnation a mort ne produit pas l’effet attendu mais au contraire qu’il fait perdre au peuple toute sensibilité en citant ce qui s’est passé à Saint Pol à la suite d’une exécution (lignes 72 à 87) .
A partir de deux situations