Devoir de philo sur le livre sophie
Références du devoir Matière : Philosophie Code de la matière : PH06 N° du devoir : 1
(tel qu’il figure dans le fascicule devoirs) Pour les devoirs de langues étrangères, cochez obligatoirement ☐
LVA, ☐ LVB ou ☐ LVC Vos coordonnées Indicatif : 3023000245
Nom : Gara
Prénom : Sarah
Ville de résidence : Le Plessis-Robinson
Pays (si vous ne résidez pas en France) : Pays Saisir les différentes informations demandées puis commencez à saisir votre devoir …afficher plus de contenu…
On peut maintenant se demander comment atteindre cet ordre parfait ? Comment doit-on percevoir le monde pour permettre l’équilibre entre le soi et la nature ?
Marc Aurèle invite par la suite le lecteur à « songer à te retirer dans ce petit lopin qui est le tien » (ligne 7). Le lecteur est fermement impliqué. En effet, on note la présence de trois pronoms de la seconde personne du singulier : « te », « te » et « tien ». L’auteur invite donc le lecteur à « songer », c’est-à-dire à réfléchir, mais aussi à rêver, de cette retraite intérieure. De plus, la négation restrictive « ne » « plus » associée au verbe « reste » indique que tout ce qu’il reste à faire au lecteur c’est à réfléchir. Marc Aurèle semble sous-entendre qu’il vient de …afficher plus de contenu…
Mais l’auteur précise, par la suite, « qu’avant tout » (ligne 7), c’est-à-dire en priorité, avant de faire quoi que ce soit, « soi un homme libre » (ligne 8). Cet impératif est conditionné par les compléments circonstanciels de manière « sans tourment ni tension excessive » (ligne 8).
L’auteur implique qu’il faut, comme l’indique l’impératif, être libre sans pour autant subir de pression, ni de souffrances physiques ou morales. La vision d’un « homme libre », pour l’auteur, est un homme capable d’agir ou de ne pas agir sans pour autant en souffrir. Cette notion de liberté est précisée dans la suite du texte. L’impératif est une nouvelle fois