Dictionnaire des injures (analyse)
Nous avons choisi d’analyser le Dictionnaire des injures québécoises (DIQ) d’Yvon Dulude et Jean-Claude Trait. Ce dictionnaire est publié aux Éditions internationales Alain Stanké. La première édition de ce dictionnaire date de 1991, mais nous travaillons avec l’édition de 1996. Il s’agit d’un dictionnaire de poche comprenant 1 500 entrées réparties sur 461 pages. Il s’agit d’un dictionnaire spécialisé dans un type de vocabulaire spécialisé, soit, comme l’indique son titre, celui de l’injure. Ce dictionnaire vise une clientèle grand public. Il faut toutefois noter que de par sa nature particulière et surtout par la nature des exemples et des explications données, ce dictionnaire s’adresse à une clientèle majeure et avertie. (Donner un exemple???) (aussi, définir l’injure selon nous???) Ce dictionnaire s’adresse évidemment à une clientèle québécoise, mais les auteurs précisent que l’un des buts poursuivipar leur ouvrage est de permettre à tout le monde de mieux pratiquer l’art de l’injure. Dictionnaire humoristique : les auteurs n’hésitent pas à se moquer d’eux-mêmes (voir page 13)
Le DIQ contient une présentation, présente l’histoire de l’injure. Contient aussi un genre d’apologie de l’injure. On retrouve aussi un complément thématique à la fin (en fait, un mini dictionnaire des synonymes) (à compléter) (injures sélectives, etc.)
Description et analyse du contenu
Nature et organisation de la nomenclature
Organisation de la nomenclature :
➢ Les entrées de ce dictionnaire sont placées par ordre alphabétique. S’il y a une sous-entrée, celle-ci est indiquée par un changement de police. Lorsqu’il y a polysémie, chacun des sens possible est indiqué par un numéro. On peut le voir avec cet exemple (entrée : pepsi)
Exemple de sous-entrée (entrée du DIQ : têteux)
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Exemple de polysémie (entrée du DIQ : pepsi)
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Nature de la nomenclature :
➢ Principalement