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T3.Syntaxe et sémantique en langue in fieri.

1.L'originalité du verbe en tant que phénomène et puis en tant que partie de langue.

La phénoménologie impose des conséquences non négligeables par rapport à autres parties de langue.

Ce vocable, verbe, est avant tout un phénomène qui est toujours présent dans l'histoire de la humanité ; dans nos langues le verbe est omniprésent :

“Au commence, il était le verbe”

Marina Yaguello a affirmé que qui domine le verbe domine les mots, le monde. Le verbe domine dans destins sémantiques, pragmatiques et même épistémologiques. (théorie des croyances).

Le verbe représente le temps, d'aucune disent que le verbe est le temps. Dans notre représentation du temps, le verbe équivaut à l'unique outil permettant de côtoyer ac cette mécanique nommé temps à laquelle chacun n' échappe.

Tesnière, qui croyait en la prédominance du verbe, a livre une thèse simple:

Nous parlons par phrases Nous parlons dans le temps.

L'ordre linéaire, opposé a l'ordre structural, se situe dans le temps. C'est à dire, il est impossible d'énoncer deux phénomènes différents en même temps. Notre capacité de compréhension repose sur l'ordre structural au sein duquel le verbe règne en maître..
La majorité des langues du monde possèdent des systèmes grammaticaux dans lesquels le verbe est identifiable. On parlerai dans ce cas là des langues à morphologie identifiable en opposition à des langues isolantes comme le khmer.
Normalement, le verbe est considère comme le pivot d'un énoncé, d'un cadre plus large formé par l'opposition verbe-nom (opposition verbe-nominale).
Nous somme prisonniers du verbe en tant que phénomène : si nos langues y sont assujetties alors les énoncés des langues les sont aussi.

2 .Verbe en tant que partie de langue.

D'avantage, il est observable au sein de la phrase. Lucien Tesnière disait que le verbe était au sein de la phrase comme