Dissert'
Dans le 1er texte Julien apparait comme un être froid et déterminé par rapport à sa démarche amoureuse. D'ailleurs il n'utilise pas le vocabulaire amoureux mais se parle à lui même en employant de manière récurentes des verbes d'obligation tels que "se dois d'être sensible à sa beauté" "ilfaut que j'ai une de ces deux femmes" or la sensibilité ne se commande pas. Celà contraste avec "la passion" que semble éprouver Madame de Rênal , il à l'air de considérer ces femmes comme des objets comme le suggére le verbe "avoir" et non "séduire". Le lecteur découvre un être égocentrique et vaniteux, vanité exprimé dans l'expression "continua la petite vanité de Julien" c'est elle qui s'exprime. Julien prefererait choisir Madame Derville qui le considére supèrieur à sa classe social c'est un "précepteur honoré par sa science" plutôt que Madame de Rênal qui le voit comme un simple "ouvrier charpentier" "faible" "timide" et "rougissant". Il nourrit aussi des sentiments peu noble comme le désir de vengeance "Belle occasion de lui rendre tous les mépris qu'elle a eus pour moi."
Quant à Milady dans le texte deux l'auteur choisit de dévoiler son fort intèrieur , elle est tiraillée entre sa faiblesse et la volonté de sortir libre de la prison. Tout celà est accentué par la déshumanisation de celle-ci. On emploie le champs lexical de la tempête "gronde" "mugit" "vient se briser" "contre les rochers" "à la leur des éclairs" "orageuse" évoque sa rage. On la voit même comme une bête sauvage "rugissements sourds" Milady est même comparée à un "serpent" qui symbolise le mal et la trahison ce qui rejoind le sentiment de vengeance. Sa nature change elle devient même un homme elle se sent "l'âme virile". L'autre a employé de nombreuses comparaison comme le chaud et le froid