Dissertation littérature: pris leur plume pour une épée
Introduction : Depuis toujours, certains écrivains ont « pris leur plume pour une épée » avec pour objectif de lutter contre les inégalités. Mais cela est-il assez efficace pour arranger toute la misère du monde ? La parole des écrivains est-elle assez forte ou faut-il faire passer l’information d’une autre manière ? Certaines personnes sont persuadées que la littérature n’est pas une bonne arme contre les inégalités
Antithèse : Pour commencer, peu de personnes lisent de telles littératures, une lecture plus distrayante est souvent préférée à des écrits qui font prendre conscience. Arthur de Gobineau, Essai sur l’inégalité des races humaines (1853-1855) Livres 5 et 6 : « Les deux variétés inférieures de notre espèce, la race noire, la race jaune, sont le fond grossier, le coton et la laine, que les familles secondaires de la race blanche assouplissent en y mêlant leur soie tandis que le groupe Arian, faisant circuler ses filets plus minces à travers les générations ennoblies, applique à leur surface, en éblouissant chef-d’œuvre, ses arabesques d'argent et d'or. ». Cette petite partie de texte peut prouver que certaines lectures sont rébarbatives, les lecteurs préférerons une lecture plus accrochante. Ensuite, la littérature peut sensibiliser certaines personnes mais elles n’agissent pas. Certaines personnes pensent que la littérature est une bonne arme contre les inégalités. Dans le site : « http://www.cyberprofs.com/reponses-et-corrections », « Montaigne, Voltaire, … ont critiqué le sort réservé aux indiens et aux noirs mais cela n’a pas empêché la société d’en faire des esclaves ». Donc, les personnes ciblées peuvent être touchées par un écrit sans pour autant en changer leur comportement. Par après, bien que plusieurs hommes politiques tels les députés font beaucoup de promesses, les lois n’en sont pas moins inchangés. Comme le dit : Patrick Savidan : « En France, le 4