Dissertation sur le cinéma
Thierry FrémauxPour JLC il s’agit de faire du cinéma contre une représentation joyeuse, tendre et innocente qu’il s’agit de filmer le travail / opposition à Frémaux“Le cinéma reste à la porte de l’usine. Ce monde du travail qui l’attire d’emblée, il se contente encore de l’approcher mais ne le pénètre pas” Gérard Collas« Les films qui traitent du travail sont minoritaires dans l’ensemble de la production cinématographique ».N. Hatzfeld, A. P. Michel, G. Rot, « Représentations filmiques du travail à la chaîne : derrière la variété des genres, une variation de regards (1920-2000) », dans Caroline Eyraud et Guy Lambert (dir.), Filmer le travail. Films et travail. Cinéma et sciences sociales, Publications de l’Université de Provence, 2009, p. 131.SI les films du travail ne manquent pas c’est pcq on ne manque pas de films instituionnels, de publicité..Alternant entre des plans fixes et en mvmt, la série de films …afficher plus de contenu…
Idée, forme désenchantée et contrainte, corps dominé par la technique réduit au calcul.Monotonie qui est ratachée qui semble incarnée, incarnation des modes de prod capitalistes.Lewis Mumford --> « À défaut d’être supérieur à la machine, [l’homme] allait finalement tomber à son niveau : muet, servile, abject, une créature aux réflexes immédiats, aux réactions passives et non sélectives ».Fonctionnement de l’homme par le milieu technique --> La machine se répand dans l’ensemble de la société comme mode de pensée.Thomas Carlyle évoque le sort de l’h dans une ère mécanique, quand la machine n’est pas si répandue que ça. Domination croissante de l’homme sur la nature, ère qui pratique le grand art d’adapter les moyens aux fins. Retentissement des logiques de la machine sur les modes de pe,nsée de gouverner et d’enseigner.Thomas Carlyle