Dissertation
D’entrée de jeu, des indices évidents amènent à croire que le prisonnier est atteint de folie érotique macabre. L’importance accorder aux qualificatifs du médecin consternant la démence du fou est considérablement plus persuasive que les propos inscrits dans le journal de la victime. En effet, le médecin, étant une source de référence généralement fiable, évoque sans aucun doute la nécrophilie du prisonnier ! C’est une sorte de nécrophile! (l.13) et le décrit comme un !fou obscène!. Étant donné que l’homme est placé dans une cellule très sécurisée d’un asile et qu’il ne se cache pas pour dévoiler !la maladie de son esprit!, le lecteur serait porté à déduire que les malaises du prisonnier sont d’ordre psychologique. Par ailleurs, ce