Dissertation
(version 1 détaillé plus bas)
Plan corrigé
I celui qui l'avais fait... (=un roman apparemment traditionnel)
-Début in media res
-Paris =lieu, décors réalistes, gare d'austerlitz
-bruits,odeurs
-parfum existant dans la réalité
-données réel (11%)
-façon de parler qui renvoi à une époque (années 50)
-personnages avec des caractéristiques et réactions normales
-Gaby = parisien, délicas, réfléchie, avec un parler populaire, costaud mais pacifique
-narrateur omniscient au début
-narrateur qui nous fait aimer l'histoire, qui guide, assez discret, avec des limites
-présence d'un dialogue
-temps du passé
-3eme personne
II...La fait disparaître (=destruction du roman)
-début fracassant des le premier mot avec le neo français (doukipudonktan) pensée très basse, qui déstabilise le lecteur
-rupture des codes typographiques, on ne sait pas toujours qui parle, si on est dans un discours direct ou indirect.
-le narrateur s'exprime également en neo français, de facon grossière et fait des remarques
-situation vide de sens mais qui permet au langage de se développer
-situation visuel, comique de geste et de caractère
-personnages grotesques, grossiers, caricaturés comparés à des animaux, (gringalet VS malabars) tel laurel et hardy, impression d'être dans l'univers du cinéma mué
-personnages fantoshe, marinettes, sans nom, on ne connait pas leur identité, leur famille
III L'humour et l'ironie, une mise à distance
-langage libéré de toute contrainte et qui permet un nouveau langage qui n'est pas reconnu
-ironie permanente du narrateur
-situation grotesque
- « pris le temps de fignoler sa réponse » pour finalement répondre « répéter un peu quoi ? »
-ou encore « de se forger quelque bouclier verbale » « un alexandrin » « d'abord je ne vous permet pas de me tutoyer »
- gabriel dit « foireux » mais on ne sait pas si il s'adresse au narrateur ou au