Doit on fidélité à sa culture?
Doit-on fidélité à sa culture ? Êtes vous déjà allé faire un tour à Paris ? Non pas la ville lumière mais la ville culturelle. En une dizaine de minutes vous traversez Pékin, Tanger, mais encore Beyrouth, Yamoussoukro et Tel-Aviv : vous traversez des restaurants, des artistes de rues, des cultures. Il y a bien longtemps de cela, quand tout ces quartiers n’existaient point encore, les hommes se questionnaient déjà sur ces mélanges de cultures : quelle culture est la culture dominante ? Doit-on accepter toutes les cultures en prenant compte de certaines traditions inhumaines ? Si on acceptes toutes ces cultures, nous serions tenté de les assimilées, mais, doit-on fidélité à sa culture ? La fidélité est un attachement à ce que l’on aime où à ce que l’on doit faire. Être fidèle c’est un sentiment de persévérance dans l’idée, l’être où l’objet que l’on porte dans son cœur. Cette fidélité nous engage à poursuivre ce dévouement régulièrement ce qui nous prive du fondement de l’humanité : la liberté. La culture ensuite est l’essence, l’identité d’un peuple, d’un être. C’est l’héritage d’une civilisation, ce que les hommes et femmes vont transmettre à leurs progénitures. Est ce un devoir de poursuivre et transmettre sa culture ? Avons nous seulement une seule culture ? Certes, chaque Homme naît et dès le début de sa vie assimile un bagage culturel par le biais de ses parents et de son entourage. Mais la vie n’est pas un long fleuve tranquille, et, rencontre sur rencontre, cette culture se mélange à d’autres. Enfin l’Homme n’a qu’une seule culture mais cherche sans cesse à en découvrir et expérimenter des nouvelles.
Chaque peuple à sa culture. Plus ou moins traditionnelle, plus ou moins matérielle, ces cultures sont une sous catégorie pour classer les différents êtres humains. C’est un ensemble de mœurs, de techniques, d’arts mais surtout de croyances qui sont transmises de générations en générations.