Dopage et sport
Le dopage dans le sport est un fléau mondial. Outre le fait qu’il truque les performances des athlètes, il est également un vrai problème de santé publique.
Le dopage dans le sport consiste à administrer des substances appartenant à des classes interdites d’agents pharmacologiques et d’utiliser diverses méthodes interdites.
Ces méthodes ont pour but d’améliorer les performances d’un athlète, ils sont de plus en plus fréquent dans le monde souvent liée à la professionnalisation des sports suscitant des enjeux économiques énormes. Les sports les plus touchés sont le cyclisme, le tennis, ainsi que le football, trois sports très populaires qui attirent de nombreux sponsors et brassent beaucoup d’argent.
On compte à ce jour 5 grandes familles de dopants : Les stimulants, les narcotiques, les agents anabolisants, les diurétiques, et les hormones peptidiques et glycoprotéiques.
Parmi les sports les plus fréquemment visés par les soupçons de dopage, à l’heure actuelle, près d’un contrôle sur cinq, tous sports confondus, vise le cyclisme.
Mais au-delà du dopage classique, la question du dopage technologique prend une place croissante dans les débats sur la lutte contre le dopage. Le cyclisme connaît lui-aussi des dispositifs d’assistance motorisée électrique qui procurent aux coureurs une puissance supplémentaire de plusieurs centaines de watts pendant plus d’une heure. Ce moteur serait alors dissimulé dans les cadres des vélos. Si les innovations technologiques sont susceptibles d’être les pistes les plus explorées à venir, il est toutefois intéressant de mentionner que l’outil technologique est de plus en plus utilisé dans le cadre de la lutte anti-dopage.
Il s’agit d’un dispositif de détection indirecte du dopage, permettant notamment de relever les différences entre sportifs mais aussi entre performances, d’une année sur l’autre, du même sportif.
Depuis plusieurs années, la lutte anti-dopage s’est considérablement accentuée. De nos