Dossier WALL OF BERLIN
CHARRON Joffrey
CASTEL Charles
LE MUR DE DERLIN
Le Mur de Berlin est un exemple parfait de la mise en tourisme d’un « objet du patrimoine ». Selon nous, l’histoire du mur et ce qu’il est devenu dans sa dimension sociale et économique témoigne que la mise en tourisme de certains objets patrimoniaux peut véhiculer des valeurs fortes. Une personne d’entre nous ayant déjà visité le mur, et les autres ne restant pas seulement indifférents mais aussi en accord sur le choix de ce site touristique, nous avons décidé communément le mur de Berlin pour les valeurs qu’il véhicule, en accord avec un tourisme durable.
Le mur de Berlin est avant tout un symbole de répression. Sa chute, un symbole de liberté.
Nous sommes en 1961. L’Allemagne est divisée en deux parties, la République Fédérale à l’Ouest et la République Démocratique, à l’Est. La RDA, où se situe Berlin est dirigé par la Russie, sous gouverne de la répression, du communisme alors que l’Ouest, libre, est divisé en trois parties dirigées par la France, l’Angleterre, et les États-Unis. La ville de Berlin subit elle aussi la même division, l’est est Russe, alors que l’Ouest est sous gouverne de l’alliance Occidentale. Depuis 1949, plus de 2,5 millions de citoyens quittent la domination communiste pour se réfugier vers la liberté. 13 Août : face à cette exode, Berlin Est annonce des points de contrôles : barrages, routes d’accès coupées, détachement de police et milice ouvrière stoppent le trafic. Petit à petit, jours après jours, les barrages barbelés deviennent des murs en béton, qui forment une frontière réelle et physique entre les deux parties de la ville. Transports publics coupés, places divisées, quartiers déchirés. On retiendra en certains postes de frontières les plus importants, tel que le « Checkpoint Charlie », encore visitable à ce jour, ou le pont de Gilenicke. La confrontation entre les chars d’assaut Américains et Soviétiques prend place le 25 Octobre, on condamne fermement «