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La rencontre a vu la participation d'Omar El Kaddouri, qui a disputé la totalité des 90 minutes.
L'international marocain a été le véritable patron de l’entrejeu turinois, avec un sens impressionnant de récupération et de création à la fois, il a été dangereux et a failli marquer à maintes reprises.
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Mountakhab.net: Après six mois à la tête de la sélection, quel bilan général faites-vous de cette période?
Zaki Badou: Avant de parler du bilan de l'équipe nationale, il faut qu'on se rappelle de la situation dans la quelle était l'équipe au moment où j'ai été nommé. Tout le monde sait que nous étions dans une situation catastrophique. Lors des dix dernières années, notre football a vécu une crise de résultats comme nous en avons jamais connu. Pire, au fil des contre-performances et des revers, le public a même commencé à se désintéresser de son équipe nationale. Pour confirmer ces maux, la presse rapportait régulièrement des comportements et des attitudes qui nuisaient à l'image de la sélection et qui se traduisaient par de piètres prestations sur le terrain.
Mountakhab.net: Effectivement, tel était la situation "pré-Zaki", comment étaient vos premiers pas avec la sélection après votre retour?
Zaki Badou: Après ma nomination, j'ai commencé par tracer les contours de l'équipe nationale et les joueurs qui la formeront. Avec le staff, nous avons mis en place une feuille de route et nous avons identifié nos objectifs. Bien sûr, la priorité était indéniablement la Coupe d'Afrique qui devait être organisée dans notre pays.
Après, j'ai commencé à prendre contact avec les joueurs. Je n'ai exclu personne de cette démarche, bien que j'étais au courant de tous