Introduction
Le débat sur les armes nucléaire entre les États-Unis et le Canada de 1961 à 1963, et la participation à la défense antimissile balistique de 2005, ont amené le gouvernement du Canada à prendre de grande décision pour la sécurité du pays et des canadiens. Par le présent essai, je vais tenter de vous démontrez les enjeux qui ont joué un rôle décisionnel du gouvernement canadien sur l’acquisition d’armes nucléaires en 1963, et le refus du premier ministre du Canada Mr. Paul Martin en 2005, à participer conjointement avec les États-Unis au bouclier antimissile balistique.
Analyse
Mon premier sujet traite sur la présence d’armes nucléaires en territoire canadien dans les années 60. D’après les stratèges canadiens et Américains qui estimaient, que l’Union-Soviétique possède les moyens d’attaquer l’Amérique du nord avec ses bombardiers supersoniques, armés de bombes atomiques . Les États-Unis propose alors deux options au Canada, la première étaient d’installé en sol canadien des bases de Bomarc sous contrôlent américain et la deuxième option étaient de vendre les missiles Bomarc-SAGE (semi-automatic ground environnement), au Canada . Pour être efficace et opérationnel, ses missiles antiaérien terre-air doivent êtres équipés d’ogives nucléaires et ainsi leurs permettre de fonctionné en conjonction du système de radars et guidance électronique SAGE.

L’origine du bouclier antimissile datent de 1983 sous le règnent du président Américain Ronald Reagan, ce projet étaient désigné sous le nom de «guerre des étoiles» . Suite aux événements du 11 septembre 2001, ce projet fût relancé par le gouvernement Américain en décembre 2002 . Ce bouclier antimissile vise à protéger le territoire américain. Son système est complexe et repose sur un ensemble de radars et de missiles pouvant détecter et intercepter toutes ogives ennemies dans l’espace extra atmosphérique, avant même que ceux-ci pénètrent dans l’atmosphère . Pour le gouvernement Canadien, participer