déconstructivisme
Donc nous allons nous demander comment une création déconstructivisme peut être au final cohérente en n’obéissant pas à certaines règles.
Pour cela nous allons tout d’abord voir l’œuvre de Tejo REMY, qui est, « Chest of Drawers ». Puis l’œuvre d’ARMAN, qui s’intitule, « Chopin’s Waterloo ». Et pour finir l’œuvre de Franck O.GEHRY, qui est, « Le musée Guggenheim de Bilbao ».
Dans l’œuvre de Tejo REMY qui est « Chest of Drawers ». Il s’agit de récupération, de recyclage et d’appropriation d’un objet. On peut voir qu’il développe un nouvel axe de recherche lié à la mémoire : Ce chiffonnier est un modèle unique, composé de vingt tiroirs. Ils sont maintenus les uns avec les autres, avec une grosse sangle. C’est donc un assemblage d’éléments ayant chacun leurs dimensions mémorielle propre. Les utilisateurs le réceptionnent démonté et sont libres de le remonter comme ils le veulent, organisant ainsi leurs souvenirs qu’il renferme. Il s’agit là de crée un nouveau meuble grâce à de la récupération d’objets existants.
Le but de cette création est de poser, d’empiler de façon déséquilibré, et illogique, ce qui donne une apparence désordonnée, pour au final crée une construction cohérente. L’artiste joue avec la stabilité.
Puis dans l’œuvre d’ARMAN qui est « Chopin’s Waterloo ». Il s’agit d’un objet familier, en fragment réduit au silence, réellement et définitivement, à la suite d’une colère. Cet objet devient l’œuvre, (L’objet dans l’art). La série « Colères » se réalise en direct devant