développement de la première année
On jugeait qu’il était inutile d’éduquer le nourrisson.
Un grand saut théorique entre les années d’avant guerre et d’après guerre au cours des quels les pathologies très jeunes enfants privés de leurs mères ont amené les pédiatres à accorder une attention à eux.
On s’est aperçu que selon les stimulations qu’on apportait à l’enfant ,il On va s’intéresser au développement de l’intelligence du bébé (0-2ans) était capable non seulement de guérir des souffrances liées par ex à la carence mais il était également capable de développer des véritables compétences.
A partir des années 70 on a la vision d’un nourrisson hyper compétent avec des perceptions bien organisées et on cherche à établir des relations entre les capacités de l’adulte et celle du très jeune enfant, ce qui a été revue à la baisse puisqu’on ne peut pas comparer le dvpt d’un nourrisson de 4 mois avec celui d’un adulte.
Depuis les années 90 on a fait une observation et en particulier celle du développement des mécanismes cérébraux et fonctionnels et un aspect fondamental apparait aux psychanalystes et aux pédopsychiatres c’est le fait que pour que le bb développe ses compétences, il doit s’appuyer sur l’adulte, la mère en particulier.
Différentes théories ont germé concernant le développement de ces capacités ,il y a des théories géniques par exemple qui s’appuient sur le fait que le nourrisson dispose d’un bagage génétique qui va l’amener à développer plus ou moins ses capacités ou au contraire des troubles.
La transmission génétique d’un état excitable rend difficile la prise en charge psychologique.
Il y aurait des infos qui ne se seraient pas développées au niveau cérébral.
Ces infos non développées formeraient ce que Freud appelle le refoulement.
D’autres chercheurs font l’hypothèse que le nourrisson acquiert des capacités, des