Economic diversification in saudi arabia
Comme expliqué précédemment, l’un des effets principaux de la « maladie hollandaise » sur l’économie des pays concernés est la dépendance économique aux ressources énergétiques. En effet, en Arabie saoudite, les revenus du pétrole représentant % du revenu du pays, d’autres élément de l’économie on été négligé. Mais la baisse des revenus liés à l’exportation du pétrole pousse, en avril 2000, le gouvernement Saoudien à des réformes. Ces réformes seront principalement effectuées entre 2005 et 2008, et cela grâce a de très importantes recettes pétrolières, passant de 280 milliards de dollars de 2000 à 2004 (en moyenne annuelle) à 750 milliards de 2005 à 2008.
I Stabilisation de la dette Publique
La première mesure aura été la réduction de la dette publique, qui passera de (de 65% du PIB en 2004 à 13% fin 2008). Cette réduction a été possible grâce aux surplus apportés par les revenus du pétrole.
La dette publique est un élément essentiel à maitriser car elle peut être le facteur déclencheur d’une crise financière pour le pays concerné.
II Réformes économiques : ouverture et libéralisation économique.
Dans le but de diversifier son économie et ainsi de ne plus être dépendant des revenus liés a la vente de pétrole, le gouvernement Saoudien décide de revoir les condition d’entrée sur son marché afin de le redynamiser, pour ne plus uniquement dépendre des revenus du pétrole et aussi créer des emplois pour sa population.
Pour cela, certaines réglementations ont été assouplies ; loi sur les investissements directs étrangers, révisée en 2000. L’imposition des profits des entreprises étrangères a été réduite de 45% à 20%. Les étrangers ont maintenant le droit d'investir dans tous les secteurs de l'économie, Les investisseurs étrangers n'ont plus besoin de prendre des partenaires locaux pour créer et débuter leur activité
L’accélération des réformes a permis une amélioration notable de l’environnement des affaires. Le