Dans le tram, dans mon bureau, sur mon vélocypède, je vois des escaliers,qui montent;et descendent,le train de la réalité. Le train ne s’arrête jamais,Tiré par la locomotive pensée,Où chaque idée n’est déjà plûtDONG DOONG DOOONGLa Grande Gaïa sonne , les murs de la chambre tremblent et des boûts de plâtre noirs de crasse se détachent par plaques fines du mur nord avant de s’écraser au sol en un bruit mât. Dans la petite chambre sous les combles le toit semble vouloir s’effondrer, se tasser sur le sol à chaque coup de l’Horloge.Petit à petit …afficher plus de contenu…

Tout en allumant la petite gazinière, je me souviens que je dois passer au quartier sept-neuf, Dérick doit m'y trouver pour me donner la pièce que je lui ai commandé. Je dois aussi m'aventurer jusqu'au quartier neuf-huit, une fuite dans le condensateur β a été signalé. J'enfile ma double peau, mon bleu de travail, à m'observer, on pourrait croire que je me coule dans un bon bain chaud car le contact du coton rugeux est rassurant et me dispose à travailler. En avalant rapidement mon café, je prends ma trousse à outils avant de quitter ma chambre. En passant devant l'appartement de la concierge je glisse le billet habituel dans la petite boite à fente atenante à sa chambre, la vieille doit encore dormir sous une couverture bourré de …afficher plus de contenu…

Le policeman le regarda dans les yeux et lui dit d’une voix posée:-Monsieur Toad, pour l’instant vous êtes seulement accusés d’être tombé au mauvais endroit au mauvais moment. Seulement, si pendant l’enquête les collègues retrouvent quelque chose comme une empreinte la où y faut pas, ou un cheveux la où y faut pas, faut qu’on vous ai sous la main.Toad qui ne faisait que se remuer sur sa chaise jusqu’à présent s’immobilisa et son visage prit un tein de linge blanc, il dit d’une voix horrifié:-Ça veut donc dire qu’on pourrait m’coffrer