En analysant la situation d’Émilie, et en tenant en compte l'amitié qu’il y a entre les patrons de Beaurivage et le boss du bureau de consultants, il n'est pas possible d'omettre des détails au moment de présenter le post-mortem du mandat, le manque de professionnalisme de Jean-Marc ne peux pas continuer, et si Émilie omet quelques détails, il perdra aussi, le professionnalisme et l'objectivité, qui avait déjà gagné avec la manière de présenter la formation aux gestionnaires, parce qu’il est très probable que son chef s'informe de la non-conformité des gestionnaires, au moyen de son ami de Beaurivage. À mon avis, après d’avoir travaillé avec intelligence émotionnelle la situation, malgré la pression qui générait la formation pour ce groupe de gestionnaires et les déceptions générées par le premier formateur, la meilleure façon de culminer le travail est la présentation d’un post-mortem du mandat objectif, clair et avec la stipulation des observations présentées, cela permettra faire l’évaluation de la problématique existent et en même temps l’entrepris pourra faire les corrections nécessaires. Je ne douterais pas en présenter mon post-mortem avec toutes les observations faites pour les gestionnaires de Beaurivage, et cette différence de réagir, je l'ai trouvée en analysant la différence entre le style d’attachement d’Émilie et le mien. La différence d’attachement fait que chaque personne détermine sa disposition aux milieux dans lesquels elle se trouve, prendre des initiatives et risques, afin de développer son potentiel, son individualité et sa sociabilité. Les doutes qu'Émilie a sont attribués aux liens affectifs dans un groupe, c'est-àdire les liens que les individus découvrent et mètrent en commun, devienne une action de groupe et, normalement c‘est la figure d’autorité que mis en commun les intérêts de l’entreprise, dans le cas du bureau de consultant, l’intérêt est l’excellence et le professionnalisme, cela procure à chaque individu une certaine sécurité et