Emile Zola, La vie des courtisanes dans Nana.
I. Le théâtre une grande famille aux moeurs étranges :
a. Courtisanes et amants : la grande fratrie : Comme les femme dans les cités anciennes les prostituées sont des éternelles mineures, les propriétés des hommes qui les entoure, une fille c’est une marchandise, et comme tout bien elles sont «possédées» par ceux qui les entoure, leur patron Bordenave, leur maris : Mignon, leur «clients» quoi qu’on ne puissent pas vraiment parler de clients ici puisqu’ils sont plus des sorte d’amant réguliers qui les entretiennent. Elles passent de la tutelle de l’un à celle de l’autre sans qu’aucun affaire de sentiments viennent interférer.
Mais comme ces éternelles mineures les courtisanes sont avant tout des enfants. Nana elle même est