Emile zola, la mort de l'enfant, l'oeuvre , 1886
Sa mauvaise vision symbolisée par les larmes est révélatrice de sa confusion mentale suggérée ici par la métaphore du « brouillard » ligne 16. Il n’est plus maître de ses gestes et c’est le « travail » de création artistique qui lui dicte ceux-ci : « Puis le travail sécha ses paupières, assura sa main » (personnification du travail qui est ici sujet des verbes d’action, l’homme est « tremblant » mais l’artiste, lui, est assuré ligne 17 « il assura sa main »). Il commence « une étude de l’enfant mort » (on notera le déterminant …afficher plus de contenu…
Ligne 17-18 : « et, bientôt, il n’y eut plus là son fils glacé, n’y eut qu’un modèle, un sujet dont l’étrange intérêt le passionna » : antithèse + gradation+ négation restrictive qui souligne l’obsession de Claude pour son art. L’art est d’ailleurs présenté dans ce texte comme une chose surnaturelle (l’inspiration ?) irrationnelle que l’être humain ne peut maîtriser. (« assura sa main », « étrange intérêt