zaffc fc qf cqc ef cq e fqc e f qs dcf qs df cq se cq sd f cq se fc qsd f cqs d f cq se cq ze f qsd fc q ze c qs df cq ze cq se cqz e fqd f qsd f cqd sf qc d fq sd f dqs fq scfd f ds f q se ytkj ryt j g re gr q s f d fqsdfffffffffff cze rt s fd c fdg c sdf g sdf g g g g g g g ggggggg g g g g g g g g g g g g g gg g g g g g g g g ggggg g gg g c z r f ff f ff f f f f ff f f f f f f f f f f f f fff ffff fff fffff fff fff ffff f ff fff ff ff ffff f ffff ff fffff f f ffff ff ff fff f ff f ffff f f f f f ffff ff fff f f f f f fffff ffff f ff f fffff f f fffff f f f f ff fff fff f f f f ffffff f f f ff f f f fff ff ff f ff f f ff ff f f ff fLa comparaison entre les camps nazis et les camps soviétiques a donné lieu à controverses : pour certains historiens tels Stéphane Courtois[14], les points communs ne manquent pas : le Goulag commençant, observé par les officiers de la Reichswehr allemande en manoeuvre en URSS pour contourner les interdictions du Diktat de Versailles, a pu techniquement servir de modèle aux camps de concentration allemands: même disposition intérieure des baraquements et des camps, mêmes rythmes de travail, même utilisation économique, mêmes méthodes d'arrestation, d'interrogatoires et de transport des prisonniers, et une similitude idéologique dans la définition préalable d'une « humanité nouvelle délivrée de toute aliénation bourgeoise » d'un côté, et d'un « ramassis de parasites, de nuisibles, de corps étrangers au peuple » de l'autre[15] à ceci près qu'en Russie soviétique les discriminations contre ces « ennemis du peuple » étaient surtout sociales, alors qu'en Allemagne nazie elles furent surtout ethniques. Dans les deux cas, les victimes furent enfermées et déportées soit pour ce qu’ells étaient (« asociaux », Juifs, Roms, homosexuels, anciens bourgeois, aristocrates, koulaks) soit pour ce qu'elles faisaient (dissidents, opposants, résistants, saboteurs pendant la Seconde Guerre mondiale). Si les nazis ont, en outre, tenté