Et moi dans mon coin
D’entré de jeu, dans le premier couplet, un inconnu courtise la femme de l’auteur et ce d’un simple regard. Simple regard, qui par contre, selon M. Aznavour, voudrait en dire beaucoup plus long puisque décrit comme suit avec une métaphore : « Lui te caresse / Du fond des yeux ». De plus, toujours au premier couplet, il nous est possible de comprendre que la femme se laisse quant à elle abandonné a l’inconnue. Nous comprenons cette information grâce à la métaphore « Toi tu te laisses / Prendre a son jeu ».
Dans le second couplet, l’auteur nous donne un regard sur sa propre situation. Il est seul, silencieux et surtout témoin de cette scène. Il indique via la métaphore « Je ronge mon frein » qu’il contient avec peine son dépit et son chagrin.
Dans le troisième couplet, comme la scène de départ est déjà peinte, l’action commence à graduer. Ainsi, la métaphore « Lui il te couve / Fiévreusement » est utilisée pour décrire cette chaleur et cette protection de l’inconnue. Pour décrire l’atmosphère amoureuse qui ce développe. Charles Aznavour va plus loin même en écrivant que la femme regrette qu’il soit la.
Dans le quatrième couplet, l’auteur, qui assiste toujours au « Manège », à leurs façons de courtisé, commence lui aussi, sur le thème de la gradation, à développé de plus en plus l’abandon amoureux. Ainsi il l’explique via la métaphore « Cette angoisse qui m’étreint », il est étouffé par le chagrin et la peur de perdre son amour, d’être abandonné.
Dans le cinquième couplet, les amants continue de se faire la cour et ce de façons de plus en plus libre.
Dans le sixième et dernier couplet, Charles Aznavour est complètement détruit et vois la fin. En effet, il utilise la métaphore « J’ai le cœur au bord des larmes ». Le cœur représente ici les émotions et les larmes, la tristesse. Il dit aussi qu’il boit son chagrin, expression couramment utilisée pour dire qu’il