Ethique à nicomaque livre 9
Dans une premiere partie l1 a 8 , lauteur donne la definition de la vie des hommes qui serait pour lui agreable, puis dans une seconde partie de la ligne 9 a la ligne 22 lauteur traite de la prise de conscience de lhomme dans une vie qui luiserait désirable puis dans une troisieme partie qui commence de la ligne 23 a la fin , lauteur parle de la mise au commun de la pensee a travers la vie en societe.
Des la premiere phrase,LE texte offre d’emblée une opposition entre la vie des Hommes et celle des animaux . En effet la vie chez les les animaux se définirait par une « puissance de sensation alors que celle des hommes par une « puissance de sensation ou de la pensée » puisque seul lhomme est doté d’ une raison et cest cette raison qui permet à l’homme de réfléchir, d’agir de manière consciente, de réaliser des actes contrairement aux animaux qui eux n’ayant pas de raison ne sont pas capables de penser comme l’homme . Les actions des aniamux ont donc un caractere irréfléchi , ils se servent de leur instinct pour survivre mais ne peuvent vivre comme l’homme , qui lui vit la fois en sentant et pensant. Dautre part , Aristote énonce le fait que la vie étudiée est celle « d’un homme de bien » c’est-à-dire d un homme bon et vertueux et que la vie d’un tel homme peut seulemnt etre heureuse et agreable en paartant de l’idée selon laquelle la vie est une chose « définie » . En effet , si vivre est quelquechose de defini , cela veut donc dire que la vie est determinée , elle