Etude rire
Ligne 1 " le cymbalum se tut " est une personnification qui dramatise la scène. Lorsque le cymbalum s'arrête, la musique s’arrête donc cela veut dire que le livre est fini car dans le livre il y a sans cesse un rapport à la musique grâce à Jaroslave. L'orchestre joue et donne un effet de rythme à l'histoire.
L’opposition entre "vouloir" et "pouvoir" lignes 2 et 4 montre qu’il ne peut pas faire toujours se qu’il veut.
La répétition du mot "resté" 3 et celle du mot 5, le mot "surtout" ligne 4 et 5; venu et revenu l 5...
- " ne parles pas tant"-> paradoxe, le fait que Jaroslave, un musiciens pleins de joie qui joue dans un orchestre (folklorique), donc qui possède une certaine énergie dans son corps, et qu’il a besoin de rester au calme
- périphrase l.9 " le second violon"...
- 4 phrases en tout et pour tout-> excitation de Ludvik + répétition, ca casse la longueur des phrases et le rythme calme, avec virgules= agitation.
- anadiplose l.12.....
- paradoxe l 13->montre la gravité de la situation car il meurt "moralement" (Jaroslave).
l.13 à 18, champs lexical du drame (accablé, regret, tristement)...
- personnification de la tète l.17....
- terrasser l.20 -> référence au moyen- âge, comme au début du roman (reitre et heaume); le roman est donc CIRCULAIRE.
- Il voulait terrasser Le Zemanek, mais à la fin, c'est son ami qui est terrasse.
- parenthèse= description concrète de la situations + assonance en "EN", alourdi quoi ?...
- second violon redit encore une fois écho à tout ce qu'il a pu faire pendant le roman (musique, Zemanek, la ville natale).
- l 1, 9 et 20, mot de liaison, pour conclure.- opposition entre " feux allumés (paradis) et l'ambulance