Etude de cas mama shelter
AccorHotels a ouvert ses portes à Singapour, en Australie (Melbourne, Sidney) et en Amérique du Sud à Rio, Sao Paulo, Santiago du Chili. « Au départ, on pensait qu'on allait pouvoir transformer en Mama des établissements anciens AccorHotels. Cela n'a pas été possible car les parties communes sont en général trop petites. Avec l'équipe de développeurs du groupe nous partons de zéro à chaque fois », relève-t-il …afficher plus de contenu…
Il ne s’agit plus d’y dormir mais d’y travailler, toujours en se restaurant. Associée à un promoteur immobilier, la famille Trigano s’est lancée dans le coworking (la location temporaire d’espaces de travail) avec le même esprit que pour ses hôtels. A la différence de ce que propose la concurrence, les Mama Works visent une clientèle plus sédentaire, et non la location à l’heure ou à la journée. Le site lyonnais, situé à proximité de la gare de Lyon-Part-Dieu, compte parmi ses clients la SNCF et Thales, installés pour plusieurs mois. Chaque poste de travail est loué 400 euros par mois toutes charges comprises. A Lyon, le taux d’occupation frise les 100 %. Au détour des couloirs, revêtus de la même moquette que dans les hôtels, on tombe même sur deux notaires que l’on n’imagine pas vraiment dans ce type d’espace, mais plutôt dans un immeuble bourgeois du