Euhh comment dire...
Et l'on entend à peine leurs paroles. Dans le vieux parc solitaire et glacé
Deux spectres ont évoqué le passé. Te souvient-il de notre extase ancienne? Pourquoi voulez-vous donc qu'il m'en souvienne ? Ton cœur bat-il toujours à mon seul nom ?
Vois-tu toujours mon âme en rêve? - Non. -Ah! Les beaux jours de bonheur indicible
Où nous joignions nos bouches! - C'est possible. Qu'il était bleu, le ciel, et grand, l'espoir ! L'espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir. Tels ils marchaient dans les avoines folles,
Et la nuit seule entendit leurs paroles. {draw:frame} Appréciation personnelle du poème « colloque sentimentale » {draw:frame} Mon rêve familier Car elle me comprend, et mon cœur, transparent
Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème
Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême,
Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. Son regard est pareil au regard des statues,
Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a
L'inflexion des voix chères qui se sont tues. {draw:frame} {draw:frame} Appréciation personnelle du poème « mon rêve familier» {draw:frame} Conclusion {draw:frame} Sommaire {text:list-item} {text:list-item} -_chanson d’automne_ -_colloque sentimentale_ -_mon rêve familier_ Conclusion