Le lendemain de la visite de Jean Valjean, lors du petit déjeuner, l'aubergiste raconta à sa femme la scène qu'il avait vécu la veille. La femme le regarda en colère puis s'exprima, énervée :
- Pourquoi ne l'as tu pas hébergé ? C'est seulement parce que tu le trouvais bizarre et que tu as su que c'était un anciens bagnard ?
- Oui, mais ce n'est pas que pour ça. Ça aurait pu nuire à notre réputation si on l'hébergé, et nous aurions plus de quoi vivre, répondit calmement l'aubergiste.
Allait-il se faire pardonnait par sa femme ? Écouterait-il et comprendrait-il ce que sa femme lui explique. Sa femme repris la parole :
- Mais c'est ton devoir en tant qu'aubergiste. Il faut montré son hospitalité, sa gentillesse envers l’hôte. Et puis as-tu essayé de te mettre à sa place ?
- J'ai essayais de me mettre à sa place, mais je n'arrivais pas à le laisser passer une nuit à l'auberge parce que j'avais peur qu'il nuit à notre réputation dans la ville, répondit sèchement l'aubergiste.
- Tu n'y arrivais pas, c'est quoi cette excuse !! hurla la femme.
L'aubergiste tenta d'expliquer à sa femme que cet homme était très mal habillé, qu'il ressemblait à un voleur s'étant évadé de prison. Il lui dit que l'homme lui faisait peur. La femme s'exclama avec authenticité :
- Tu n'avais pas de compassion pour cet homme ! Tu le trouvais laid et u n'aimais pas ça tête, c'est ça, un oint s'est tout !
- Si, j'avais de la compassion pour cet homme et c'est vrai qu'il n'était pas beau.
- Tu as eu peur de cet homme ? Ah ! Tous ce qu'il voulais c'était manger et dormir car il avait faim et qu'il était fatigué, repris la femme en s'énervant.
L'homme réfléchit un petit moment pendant que sa femme le regardait les bras croisé, les yeux dans les yeux. Le regard de la femme était plein de rancœur.
- Je pensais qu'il aurait pu nous voler des objets ou des meubles, vu que c'est un ancien bagnard, dit l'aubergiste avec effroi.
- Oui c'est vrai, mais il a déjà payer sa dette envers la justice.