exposé
699 mots
3 pages
Cellule : SVT Prof : Mr CISSEEcole :CPMS Classe : 1er
Année scolaire : 2013-2014
Noms des exposants :
Ibrahima Diaw
Abini Wattara
Mamadou Sow
I- Les ressources en eau
1- Les eaux de surface
Le sénégal comporte plusieurs gisements d’eaux de surfaces dont les plus importants sont :
Nous avons en premier lieu le fleuve sénégal qui s’étend sur 60 000 km2 sur le territoire sénégalais. .Son débit inter-annuel actuel est de l’ordre de 410 m3/s par an en moyenne.
Ensuite nous avons le fleuve gambie long de 1.150 km dont 477 km se trouvent en territoire sénégalais. Son débit moyen annuel à Gouloumbou est de 135 m3/s (1970-1995) et de 70 m3 /s à Kédougou.
Et le fleuve casamance entièrement situé en territoire national. Il prend sa source dans la zone de Vélingara à 50 m d’altitude.
2- Les aux souterraines
Les principales nappes aquifères appartiennent à des couches de terrains qui se sont formées à des périodes géologiques différentes, depuis les dépôts récents du quaternaire, jusqu’aux terrains les plus anciens du birrimien au Sénégal oriental.
Nous avous plusieurs nappes au sénégal dont les principales sont : les nappes du quaternaire ; la nappe des alluvions du fleuve sénégal ; la nappe des sables du littoral nord ; la nappe infrabasaltique ; les lentilles d’eau douce du sine et du saloum ect.
Cependant, il faut que la péjoration des conditions climatiques et les épisodes répétés de sécheresse ont engendré de multiples conséquences telles que :
La baisse du niveau piézométrique de certaines nappes phréatiques due à un déficit d’alimentation et à une forte évaporation ;
L’exploitation intensive de plusieurs nappes pour l’alimentation en eau de la ville de Dakar et ses environs ;
La menace d’intrusion du biseau salé surtout au niveau des aquifères de la région du Cap Vert ;
La remontée de la langue salée le long des