Fable de la fontaine sur la justice
Jean de La Fontaine est né à Château-Thierry le 8 juillet 1621. Son passe temps préférer était la lecture. Il se mit aux études de droit et décrocha, en 1649, un diplôme d'avocat au parlement de Paris. Sa vocation poétique s'éveillait de plus en plus. Il passait de longues heures à lire Malherbe, mais il admirait aussi les écrits de Benserade et Voiture, Rabelais et Boccace. Il entra à cette époque au service de Fouquet (surintendant des finances de Louis XIV). Il lui dédia 'le Songe de Vaux', ainsi qu'une trentaine de poèmes qu'il devait donner, par contrat, au surintendant. Ses contes sont divisés en cinq livres publiés en 1664, 1665, 1666, 1668, 1671, 1674 et 1682. Il mourut le 13 avril 1695 à Paris
Dans le grand ouvrage des « fables de La Fontaine » j’ai choisi plusieurs textes suivants mon point commun que j’ai choisie d’utilisé.
Le point commun que j’ai choisi est la critique de la justice car la justice est extrêmement inégale en France à cette époque suivant la classe sociale ou le niveau de richesse. La justice est donc instable et très influençable.
Pour cela j’ai choisie les fables suivantes : "L'Huître et les plaideurs"(Livres IX, fable 9) ; « Lechat, la belette et le petit lapin » (Livre VII, fable 16) ; « Les frelons et les mouches à miel » (Livre 1, fable 21) ; « Les obsèques de la lionne » (Livre et « les animaux malades de la peste » (Livre VII, fable 1)
J’ai choisi ses fables car elles représentent les différents défauts de la justice. Car elles montrent l’inégalité de la justice entres les plus pauvres, l’injustice dont elle fait preuve et le manque d’efficacité de cette dernière.
Un jour deux Pèlerins sur le sable rencontrent
Une Huître que le flot y venait d'apporter :
Ils l'avalent des yeux, du doigt ils se la montrent ;
A l'égard de la dent il fallut contester.
L'un se baissait déjà pour amasser la proie ;
L'autre le pousse, et dit : Il est bon de savoir
Qui de nous en aura la joie.
Celui qui