Figure de style
Comparaison : figure dans laquelle nous avons un comparé, un comparant et un comparatif : il est beau comme un Dieu
Métaphore : image et comparaison sans comparatif : il a la ruse d’Ulysse
Métaphore filée : Suite de métaphores sur un même thème : oublier ce flot de paroles qui semble ne jamais trouver la mer où se jeter
Allegorie : C’est le fait de représenter une idée par une image : représentation de la mort sous forme d’une vieille femme avec une faux.
Prosopopée : discours direct d’un être disparu, d’une personification, d’une allégorie : la cigale dit à la fourmi
Elles sont très nombreuses dans les fables, il s’agit en fait de personnifications.
La métonymie : C’est l’emploi d’un nom pour un autre : les planches pour dire la scène
Elle désigne le contenu par le contenant : Boire un Verre.
C’est l’œuvre par son auteur : c’est un Proust
Il y a donc trois sens possibles de cette figure de style qu’est la métonymie.
Synecdoque : C’est le fait de remplacer le nom d’une chose par l’une de ses caractéristiques : Paris pour dire la capitale
Périphrase : C’est le fait de dire en plusieurs mots ce que l’on pourrait dire en un seul : le siècle des lumières pour désigner le XVIIIème siècle
Inversion : inversion de l’ordre dans lequel apparaissent normalement les éléments syntaxiques, triste était mon âme
Antithèse : confrontation de deux thèses opposées : grand et petit
Prolepse :mise en relief d’un élément par sa mise hors proposition où il est remplacé par un pronom, ce bouquin, je n’y comprends rien
Antiphrase : C’est le fait de dire le contraire de ce que l’on pense : un enfant adorable pour dire un petit monstre
On utilise l’antiphrase pour faire valoir l’ironie, Voltaire y a souvent recours, par exemple dans Candide
Oxymore : C’est le fait de relier deux mots que l’on a pas l’habitude de voir ensemble : une douce aigreur
Personnification : Donner des traits humains à un objet/animal : l’horloge