Fin de la guerre froide
Affaiblie par les atteintes américaines, et notamment par l’IDS, l’Union soviétique perd progressivement de sa suprématie. Malgré les nombreuses réformes russes mises en place par Gorbatchev, l’URSS s’effondre et éclate en 1991.
Fin de la guerre froide et chute du communisme
La chute du communisme soviétique marqua la fin d’une ère qui opposait deux systèmes. Ainsi, cet évènement fut considéré comme la victoire d’un système sur l’autre et donc l’avènement de la démocratie libérale. Mais ce nouveau contexte s’effrita quelque peu avec la situation du Tiers Monde et ses crises constantes. Aussi, la crainte d’un monde unipolaire fondé sur la super puissance américaine amena à faire émerger d’autant plus l’Europe sur la scène internationale.
L’ordre économique suivit cette démarche libérale, et les anciens pays communiste de l’Est européens adoptent des stratégies de privatisation entres-autres. La Chine connut également un grand essor au début des années 1990, avec des taux de croissance au-dessus de 10%. Le libre-échange s’imposait progressivement, et ce notamment grâce aux organisations multilatérales comme l’Uruguay Round ou l’ALENA. L’Europe développa aussi ce concept et ouvrit ses frontières.
Chute du communisme… 1985-1991
L’empire russe s’effrite peu à peu au fur et à mesure des réformes qui n’aboutissent à aucun résultat convaincant. Les pays satellites de l’URSS s’éloignent relativement rapidement pour proclamer par la suite leur indépendance. La démission de Gorbatchev annonce la fin effective de l’URSS.
L’URSS a quelque peu perdu de sa suprématie à l’époque ou Mikhaïl Gorbatchev arrive au pouvoir. L’économie atteint des résultats catastrophiques et le pays sombre vers son effondrement. L’effervescence liée à l’esprit communiste révolutionnaire n’est plus tandis que l’URSS est ternie par les atteintes aux droits de ses goulags.
Gorbatchev va donc tenter de rétablir la situation économique à travers