Francais 1ere s
Séquence 5 – Séance 1 : Héros de guerre
I- Le roman et le personnage de roman du XVIIème siècle à nos jours
b. La construction du personnage
Le personnage de roman est définit par des critères : son époque, le lieu, le sexe, le milieu de vie (rang social), tempérament (extraverti…), son histoire.
Dans le roman le personnage est représenté par un portrait (description lieu), souvent en partant du portrait physique (vêtement rang social), puis moral (caractère, pensées). On peut aussi raconter son passé, son histoire antérieure.
Il arrive qu’on prenne un personnage futile de la société, et qu’on en fasse une valeur allégorique.
II- Textes échos 1. La chanson de Roland
Scène d’une violence inouïe. Effet de redondance, répétition de l’action.
Exagération de la violence : capacité de couper le cheval, d’un seul trait avec le cavalier. 2. Rabelais, Gargantua
Mise en scène d’un véritable héros « brave ». Nombre irréaliste de mort.
Texte drôle, parodique : le héros se déshabille et prend sa croix pour aller tuer. Le moine ne respecte pour le code de la chevalerie, il ne laisse pas le peuple se confesser avant de mourir.
Séquence 5 - Séance 2 : Le héros de romancier 2) Un héros inexpérimenté
Il utilise des mots d’enfant, qui fait un petit précieux, surtout au milieu de la guerre. Il est distrait à intervalles réguliers il perd sa pensée. Il se perçoit comme un enfant, le narrateur le « traite » comme un enfant (ligne 3 et 13). Le « Notre héros » nous donne l’impression de posséder le protagoniste. Il fait preuve d’humanité, ce qui n’est pas une qualité à la guerre. Les autres personnages se chargent bien de lui montrer que c’est un gamin : ils lui parlent mal, lui crient dessus, l’insultent. Il est opposé au maréchal Ney.
3) Un héros décalé
Tout le temps en décalage, entre lui ce qu’il vit et pense et la réalité de la guerre : l’horreur. Décalage sensoriel : il n’a pas peur, il est