FRANCAIS synthèse sur le machinisme
Ce theme est évoqué dans le dossier proposé qui se demande quels sont les avantages et les inconvénients du machinisme ?
Pour répondre à cette question dans un premier temps nous parlerons de l'aléniation c'est à dire le la dépossession de l'individu fasse au machinisme. Puis, dans un second temps, il conviendra de se pencher sur la notion de routine qu'engendre le machinisme.
En tout premier lieu, il paraît essentiel de mette en avant l’aliénation de l'individu fasse au machinisme.
Dans l’œuvre de Jules Michelet : « Le peuple », paru en 1846, le machinisme apparaît comme un inconvénient, il est source d'emprisonnement, notamment par la perte de l'identité personnelle des ouvriers.
Henri Bergdon, dans son ouvrage « Les deux sources de la morale et de la religion », paru en 1932, voit le machinisme comme un avantage, en effet, pour lui, l'ouvrier possède plus de repos, cela lui permet d'être plus disponible, plus attentif à la culture et aux loisirs et donc plus de liberté laissée à son initiative personnelle pour développer son originalité.
Dans le roman « Les ritals » de Cavanna, paru en 1978,
De plus, le machinisme inclus aussi une certaine notion de routine, de semblable.
En effet, pour Jules Michelet, le machinisme est source d'ennui : un véritable enfer ! Les gestes et les mouvements sont répétitifs, le bruit et les cris toujours les mêmes, les heures semblent très longues et même interminables.
Par ailleurs, pour Henri Bergson,les produits faits à la chaîne sont tous semblables ce qui déçoit le regard de l'artiste qui lui a un goût porté vers l'originalité. Les mêmes produits, conçus de la mêmes manière, qui défiles jours après jours.
Cannava suit également l'avis de ses confrères, les journées se résument à « travail, potes, plumard