Freud
Dans les première ligne du texte Freud expose sa thèse : La religion est inventé en tout point par l’homme. Son argumentation va ensuite s’exposé en trois partie : La première partie développent le besoin de l’homme de se sentir inférieur, la seconde partie développent le fait que la religion semble indispensable pour l’homme même si elle lui semble totalement infondé. La dernière partie est une conclusion : l’homme est bien à l’origine de la religion.
« (Les idées religieuses) qui professent d'être des dogmes, ne sont pas le résidu de l'expérience ou le résultat final de la réflexion : elles sont des illusions, la réalisation des désirs les plus anciens, les plus forts, les plus pressants de l'humanité ; le secret de leur force est la force de ces désirs. ». Freud dit en faite que les "idées religieuses" sont "des illusions", et non pas "le résidu de l'expérience ou le résultat final de la réflexion".
Cette précision est importante, car elle suggère que la religion pourrait, sans être scientifique, se révéler néanmoins "acceptable" si elle était autre chose que la réalisation fantasmatique des désirs infantile, "des désirs les plus anciens. L'auteur laisse donc entendre ici qu'une "religion naturelle" aurait une sorte de légitimité : les hommes les plus savants sont en effet incapables de tout expliquer, non pas tant parce que la science n'est pas parvenue à