Germination épigée
Germination hypogée = cotylédons en dessous du niveau du sol (pois).
La croissance de la plantule est :
- quantitative : augmentation de la longueur et du volume avec de nombreuses multiplications cellulaires et modifications.
- qualitative : acquisition de nouvelles propriétés, c’est la différenciation cellulaire. Racines, tiges, feuilles chlorophylliennes (plantule : développement uniquement sur les réserves de la graine).
2. Croissance d’une racine.
a. Détermination des zones de croissance.
Réalisation d’un marquage sur une jeune racine. Permet la localisation de la zone de croissance en longueur et de la zone de différenciation.
b. A l’échelle microscopique.
Observation au microscope photonique : coupe longitudinale de racine (TP du 28 avril)
Doc 2 page 79 du Bordas.
Doc 2a : Schématiser le document. L’extrémité de la racine est recouverte d’une coiffe protectrice. Dans la zone terminale de la racine, cellules presque cubiques à noyau très gros (rapport nucléoplasmique élevé), c’est la zone de multiplication cellulaire.
Doc 2b et 2c : les cellules sont de plus en plus longues. C’est au dessus de la zone de multiplication.
La croissance des racines se fait par multiplication des cellules dans le méristème puis par allongement des cellules au dessus de ce méristème.
- Exemple de différenciation :
Observation d’une préparation microscopique au niveau d’une zone pilifère (poils absorbants). Un poil absorbant = 1 cellule. TP du 28 avril.
3. Observation d’un rameau aérien.
Observation avec schématisation. Bourgeons axillaires, bourgeon terminal, noeud, entre-noeud, trace d’insertion de feuille. Aesculus hippocastaneum ou Catalpa bignonioides Walt.
Les bourgeons sont à l’origine de nouvelles feuilles de nouveaux rameaux, et de la croissance en longueur.
Réaliser une coupe longitudinale dans un chou de Bruxelles (Brassica sp.), sachant que c’est un bourgeon limité par des