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Carthage. On fait souvent référence à ce stratagème en mathématiques, dans le domaine qui étudie les problèmes d'isopérimétrie.
Soumise à une cour pressante de la part des roitelets locaux, elle se remarie probablement avec l'un de ses fidèles tyriens, qui appartenait à la famille Barca, selon Silius Italicus2. Les autres sources présentent différemment les choses : pour ne pas avoir à trahir son serment de fidélité envers son défunt époux, elle se perce le cœur et se jette dans un bûcher prétendument dédié aux mânes de ce dernier.
Princesse de Tyr, fondatrice de Carthage. De nombreux textes anciens attribuent la fondation de Carthage à Didon, également appelée Elissa ; sœur du roi de Tyr Pygmalion, elle quitte la Phénicie après le meurtre de son mari perpétré par son frère, relâche à Chypre, où elle recrute de nouveaux colons, conduits par le grand prêtre, arrive en Afrique, où elle obtient des autochtones la concession d'une terre. Mais le chef libyen qui l'a accueillie ne tarde pas à exiger de l'épouser ; plutôt que de consentir à cette union, Didon, au cours d'un sacrifice, se jette sur un bûcher et se donne la mort d'un coup de poignard.
Cette tradition paraît avoir été constituée pour l'essentiel dès le ~ IVe siècle et nous est révélée sous sa forme la plus complète par Justin, qui abrégea au IIe siècle l'Histoire universelle du Gaulois romanisé Trogue Pompée, contemporain de César. Elle semble amalgamer sous une forme romancée des éléments très divers ; il n'est nullement exclu qu'elle contienne un élément historique, emprunté aux chroniques royales de Tyr ; les cités phéniciennes étaient agitées par de fréquents troubles politiques, et la fuite d'un parti conduit par un des membres de la dynastie n'aurait rien d'invraisemblable. La date exacte de l'événement pose un problème difficile à résoudre.
À ces données historiques s'ajoutèrent, semble-t-il, des mythes «étiologiques», c'est-à-dire destinés à justifier des pratiques religieuses étranges ou

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