Grande probleme economique. pdf
[pic]Encore une fois, je reviens sur l’affaire du réchauffement climatique. Michel-François Clérin, économiste à l’université de Chicago (qu’on ne peut accuser de visées marxistes), explique comment Goldman Sachs a mis Al Gore sur orbite en matière de réchauffisme climatique. Son film, « Une Vérité qui Dérange », a été au départ de cette hystérie collective sur le CO2, hystérie de laquelle est née la taxe carbone, mais aussi, par exemple, le business des droits d’émettre du CO2.
En gros, pendant que le contribuable est appelé à payer, les multinationales et les spéculateurs, eux, s’empiffrent grâce à la pollution. Génial… De fait, il y en a qui n’ont pas perdu le nord.
Toute une industrie s’est mise en place pour tirer un maximum de profits avec cette histoire de droits à émettre le CO2. Étrangement, dans les plus importantes des boîtes de conseil en spéculation et « investissement » liés aux droits de polluer ainsi que dans les boîtes de notation de ces «produits dérivés » liés au CO2, on retrouve les types qui ont conseillé aux gouvernements, à l’ONU et tout le reste de taxer ledit CO2 car il réchauffe la planète. Un débat est de savoir si le CO2 réchauffe ou s’il est la conséquence du réchauffement. Là, on va seulement aborder quelques cas de conflits d’intérêts flagrants, à commencer par celui d’Al Gore, probablement le premier à avoir senti le filon. Créer des grands marchés de la pollution [pic]
En 2007, il a reçu, en même temps que le GIEC (groupement intergouvernemental de recherche sur le climat), le prix Nobel de la Paix pour son film et son « action » pour le climat.
Pourtant, il n’était a priori pas enclin à l’écologie : sa famille possède les plus grosses mines de zinc du Tennessee, « l’un des sites les plus polluants des Etats-Unis » qui émet plein de saletés dans les rivières. Mais, bref.
Al Gore est surtout à la tête ou dans le staff de très nombreuses boîtes qui font