Génération
BTS CV2
Génération
Le lien de sang est un moyen d’appartenance incontestable. La filiation d’un enfant à une famille se fait naturellement grâce à se lien. Même si se lien existe forcément, si il n’est pas entretenu, comme pas exemple dans le tome III, du livre III les Misérables, « le grand père et le petit fils » de Victor Hugo, se lien peut peux à peux s’effacer. Dans une société qui prône l’individualisme cette affiliation peut sembler lourde, comme l’explique Nicolas Jonas, dans son essaie la famille, ou Philippe Geluck avec son Entrechats. Les générations s’entremêlent, et personne n’arrive à trouver sa place, comme l’explique Christine CASTELAIN- MEUNIER dans Pères, Mères, enfants.
Qu’en est-il de l’affiliation dans la société d’aujourd’hui?
Nous verrons dans un premier temps que l’affiliation est une obligation, mais qu’elle est pourtant nécessaire a la construction de l’individualité. Nous verrons enfin que cette affiliation induit une confusion dans la place occupé par ses membres.
Si l’on peut choisir ses amis, on ne peut pas choisir sa famille. Les membres d’une famille sont liés par le sang, et, il est indiscutable de retrouver des points de ressemblance entre eux. Avec son dessin, Philippe Geluck pousse à l’ extrême ses ressemblances, jusqu'à caractériser les animaux domestiques de la famille. Nicolas Jonas lui, nous démontre dans son ouvrage que ses liens manquent dans les familles recomposées. Ses ressemblances sont indépendantes de notre volonté, on les subit et on ne peut que très difficilement les effacer.
Ses traits de caractères communs peuvent devenir pesants. Sur les Entrechats on peut sentir le malaise de cette famille ou tous les membres se ressemblent de manière presque obsessionnelle. Christine Castelain-Meunier aussi nous laisse entendre que tous les parents projettent leur souchets et espérance sur leurs enfants. Ceux-ci doivent essayer de rentrer