Hard discount - critique et bilan
Des critiques ont été faites sur le hard discount a propos des conditions des salariés disant qu'ils travaillaient dans des cadences infernales, qu'ils subissaient des harcèlement moral, mais aussi des guérilla contre les syndicats. On dit égalemment que derrière les enseignes des supermarchés discount se cachent des pratiques sociales d'un autre âge. Une enquête sur le sous-prolétariat de la grande distribution a été faites et a donner lieu a un procès, ainsi on va illustré avec un exemple :
Le 7 mars 2001, au petit matin, Mickaël Goguillon, salarié de l'entrepôt Lidl de Montceau-les-Mines, est retrouvé inanimé en contrebas de la plate-forme de stockage des palettes, la tête coincée sous les 2,5 tonnes du chariot élévateur qu'il conduisait. Au moment de l'accident, la plate-forme était dépourvue de barrières de sécurité. Il passera trois semaines dans le coma, qui se soldent par dix mois d'arrêt maladie et de graves séquelles. Le jeudi 13 février dernier, le directeur régional de Lidl était jugé en appel à Dijon pour blessures involontaires et non-respect des mesures de sécurité. Relaxé en première instance, il encourt trois ans de prison et 45000 euros d'amende. Le jugement a été mis en délibéré au 20 mars.
On a donc conclut que pour vendre aux pauvres, on a embauché d'autres pauvres qu'on a fait bosser à des cadences infernales ce qui a été dit terriblement efficace. Un ancien directeur de lidl a même avoué que pour y arriver, il faut faire travailler les gens plus vite, plus dur, et les pousser à faire des heures supplémentaires non déclarées.
Lidl n'est pas le seule discounter critiqué, Aldi égalemment : La méthode de travail chez Aldi est fondée sur le travail dissimulé, accuse Alexis Matthey, délégué CFE-CGC.
Les chefs de magasin qui ont été interrogés dans les quatre enseignes disent travailler entre 50 et 70 heures par semaine, bien plus que ne le stipulent leurs contrats. Des irrégularités pour lesquelles certains hard