harry
De là un car devait me mener en moins d’une heure à Monteux, non loin de Carpentras.
La maison tenait toutes les promesses. Comme beaucoup de vieilles demeures provençales, elle possédait fort peu d’ouvertures sur le dehors, les indigènes considérant traditionnellement le soleil et le vent comme de redoutables fléaux. En revanche une cour intérieure plantée d’un unique jasmin – le fameux patio – avait des airs de cloître miniature et invitait à des déambulations solitaires et méditatives. Deux fois par jour