Hda
En 1916, il choisit le nom de Paul Éluard1, hérité de sa grand-mère, Félicie. Il adhère au dadaïsme et devient l'un des piliers du surréalisme en ouvrant la voie à une action artistique engagée.
Il est connu également sous les noms de plume de Didier Desroches et de Brun2.
Le poème « Seconde nature » dans la partie « L’Amour la poésie » de Capitale de la douleur par Paul Eluard est une description de l’inconscient et de ses pouvoirs. Utiliser l’inconscient n’est pas le premier moyen de voir le monde, mais il vient de la nature humaine, donc le titre commence le poème avec une suggestion du naturel. Le poème n’est qu’une seule phrase, sans ponctuation sauf le dernier point. Les idées donc coulent de l’une à l’autre et forment un tout. Il n’y a pas de rime, mais il y a des sonorités comme l’aliteration dans « toutes les têtes » et la répétition des mots « entre »et « homme(s). » Ça rend le poème plus poétique. Dans le premier vers « Les oiseaux maintenant volent de leurs propres ombres. » Les oiseaux sont des symboles importants chez Eluard. Parce qu’ils peuvent voler ils signifient la libération, le but du surréalisme. Que les oiseaux puissent volent de leurs ombres signifie la découverte de la lumière, un autre symbole de la libération. Ils volent à partir du noir – quelque chose de non illuminé/inspiré. Le fait qu’ils volent, et donc ils utilisent leur propre effort montre que la promesse de la libération est en eux. Elle n’exige que l’effort de leurs ailes. Les oiseaux ne volent pas seulement d’ombres, mais de « leurs propres ombres. » Ils s’échappent de quelque chose de peu éclairé qui est d’eux. « Les regards n’ont pas ce pouvoir » de se libérer de leurs ombres. Cela suggère que la quête de la libération exige plus que la faculté des yeux ; on doit faire plus que regarder le monde. «Les