Histoire du cinéma
Le chant du styrène -> tourné en couleur et en cinémascope.
Il y a deux éléments de mise en scène important dans ce film :
La narration est faite en alexandrin
On commence par la fin et on remonte jusqu’à l’origine

Alain René
Alain René est née en 1922 en Bretagne de parents pharmaciens.
Il se passionne dès sa petite enfance pour la bande dessiné, puis il découvre le cinéma. A 15 ans on lui offre un équipement cinématographique.
Il a fait des longs métrages à 18 ans avec des copains, puis en 1942 il s’inscrit au concours de l’IDHEC après son bac. Il a tout de suite trouvé sa voie dans le cinéma en se spécialisant dans le montage. Pour briser sa timidité dont il était conscient il décide de suivre des cours d’art dramatique. Il a fait de la figuration dans « Les visiteurs du soir ». Une fois c’est études terminé il réussit a ce faire embaucher dans une entreprise publicitaire en tant que monteur, il apprend comme ça à maitriser un sujet en très peu de temps. Le producteur Pierre Brand Berger vient voir Alain René et lui demande de réalisé deux courts métrages sur Paul Gauguin et Van Gogh, grâce à cela il se forme une réputation et ce qui permet de le faire connaitre.
1956 il rencontre une jeune femme photographe professionnel qui lui demande d’être monteur pour son long métrage.
A cette époque il tourne avec la Camé Flex.
Le Camé Flex, cette caméra a était construite spécialement pour le cinéma, elle avait pour qualité d’avoir un chargement facile et on pouvait la charger en 16 ou en 35mm.
Il tourne en 1956 avec cette caméra un documentaire «Toute la mémoire du monde » sur la bibliothèque national.
Alain René c’est formé une solide réputation, les producteurs lui donnent toutes leurs confiances.
Il était très cultivé et d’une très grande ouverture d’esprit.
En 1958, il fait deux courts métrages engagé avec Chris Marker : « Guernica » et un autre sur la colonisation « les statues meurt aussi ». Puis un autre sur les camps de concentration