Arnolphe peut faire partie du comique et de la tragedie . Car son personnage evolue au fur et à mesure de la pièce Acte II, scène 5 : Ce fameux passage du ruban => quiproquo entre Arnolphe faisant allusion au pucelage et Agnès à son ruban. Ainsi les registres employés sont le registre comique exprimé par le malentendu entre ces deux personnages et la naïveté d'Agnès, aussi le registre tragique où Arnolphe souffre seul face à ce drame. => Après les romantiques, de nombreux metteurs en scène ont plaint Arnolphe et l'ont rendu plus pathétique que méchant. Ex : à la fin de la pièce, Agnès et Horace sont réunis, la jeune fille a retrouvé son père => Arnolphe est seul... (La mise en scène peut ainsi jouer sur la solitude du personnage...). C- Un personnage voulu comique • Pour Molière, Arnolphe était conçu comme un bouffon, un vieux barbon dont on se moque, un vieux ridicule. => Lorsqu'il le jouait, certains témoignages précisent que Molière roulait de manière extrêmement prononcée ses yeux et que cela faisait beaucoup rire le public. Arnolphe peut faire partie du comique et de la tragedie . Car son personnage evolue au fur et à mesure de la pièce Acte II, scène 5 : Ce fameux passage du ruban => quiproquo entre Arnolphe faisant allusion au pucelage et Agnès à son ruban. Ainsi les registres employés sont le registre comique exprimé par le malentendu entre ces deux personnages et la naïveté d'Agnès, aussi le registre tragique où Arnolphe souffre seul face à ce drame. => Après les romantiques, de nombreux metteurs en scène ont plaint Arnolphe et l'ont rendu plus pathétique que méchant. Ex : à la fin de la pièce, Agnès et Horace sont réunis, la jeune fille a retrouvé son père => Arnolphe est seul... (La mise en scène peut ainsi jouer sur la solitude du personnage...). C- Un personnage voulu comique • Pour Molière, Arnolphe était conçu comme un bouffon, un vieux barbon dont on se moque, un vieux ridicule. => Lorsqu'il le jouait, certains