Tourner les moeurs au ridicule est une maniere efficace pour les corriger puisque "l'on rit de sa propre image même en s'y reconnaissant" disais les Lumières.
On nous mais tout d'abord dans l'humour par l'éducation très particulière et exagéré faite à Agnès de manière à la rendre la plus ignorante possible (pour diminuer ses chances d'être un jour trompé), c'est donc le premier personnage comique. « Pour la rendre idiote autant qu'il se pourrait. Dieu merci, le succès a suivi mon attente ». Le Barbier de Séville et L'Ecole de femmes sont deux pièces qui ce finissent bien, sauf pour ceux qui reste dans les moeurs,ce qui permet d'une manière éloigné de faire comprendre au spectateur que on est plus heureux une fois les moeurs corrigé, dans les deux fin les personnages méchants ou grotesques sont les perdants. Agnès est heureuse avec un autre et Arnolphe, le vieux barbon, est écarté . Le méchant ridicule est puni, les deux jeunes amoureux sont réunis, le spectateur sort donc content de cette comédie. Ce sont deux pièces qui font réfléchir car malgré le comique de cette pièce, les réflexions de Molière sur les moeurs sont bien faites comprendre. Arnolphe et le Barbier, les hommes à corriger sont présenter comme ridicules. Le personnage d'Arnolphe, méchant homme qui élève sa future femme, Agnès, de façon à la rendre stupide afin de ne pas devenir un « cocu ». Pour Molière, Arnolphe était conçu comme un bouffon, un vieux barbon dont on se moque, un vieux ridicule. Personne n'aime Arnolphe : ses domestiques le respectent à peine, Agnès ne l'aime pas. Lorsqu'il le jouait, certains témoignages précisent que Molière roulait de manière extrêmement prononcée ses yeux et que cela faisait beaucoup rire le public.
La comédie n'est pas fais que pour divertir, elle peut avoir un but plus profond comme le dirais si bien le poète latin Horace : "Castigat ridendo mores" ce qui signifie "corrigé les mœurs par le rire". Beaumarchais qui est un dramaturge du VXIII siècle s’en est