Historique sur l'homosexualité.
De l’Antiquité à nos jours.
Durant l’Antiquité.
Dans l’Antiquité, l’homosexualité était connue sous le nom d’Androgyne. Il fut considéré comme le troisième sexe sur Terre et fut représenté par une sphère avec quatre mains, quatre jambes, deux visages sur une seule tête, deux sexes, etc.
On raconta que Zeus décida de tous les couper en deux et Apollon apporta quelques modifications physiques à cet être.
Un engendrement mutuel entre les différents sexes fut donc possible, ce qui permit la perpétuité de la race.
Durant l’Empire Romain.
En 342, les mariages homosexuels étaient déjà interdits. Une loi fut proscrite condamnant au bûcher les homosexuels.
Par contre en Grèce et au Japon, ces relations étaient encouragées, mais dans le milieu de l’armée. En effet, une théorie disait que deux hommes amoureux se battraient avec plus de détermination et une plus grande morale. Le « Bataillon de sacré de Thèbes » en est un bon exemple (bataillon composé de 300 dont de 150 couples d’amants, ce qui représenterait l’origine de la formation du binôme en matière de tactique de combat).
Durant le Moyen-Age.
Au Moyen-Age, l’homosexualité était mal accepté par la société chrétienne et était punissable par la peine de mort dans la plupart des états européens. Mais au VIè siècle, la situation devient pire, l’homosexualité devient un crime contre l’ordre naturel défini par Dieu. Le sodomite prouvé à trois chances avant de finir au bûcher.
Durant le siècle des Lumières.
De grands personnages du Siècle des Lumières tels que Voltaire, Montesquieu et Cesare Beccaria ont réfléchi sur ce fait social n’y trouvant rien d’anormal. Ils trouvèrent que la peine de mort était une punition exagérée alors qu’ils ne faisaient de mal à personne. Peu à peu, la peine de mort pour sodomie commence à disparaître. A la place, les accusés auront des travaux forcés, ce qui pourrait être considérés comme pire que la peine de mort (ils sont transférés