les idées directrices pour une phénomenalogie aussi connues sous le titre d'edeen I fut publié par edmund Husserl en 1913
Cet ouvrage développe la phénomenalogie transcendantale qui doit etre établie selon lui comme une science de l'essence , une science a priori , ou , comme nous le dirons aussi , une science eidetique ( science portant sur les essences )
Ce texte constitue un acheminement de l'attitude naturelle à l'attitude phénomenologique , Phénomenoligie qui par définition correspond a la science des phénomenes , à savoir de ce qui apparait dans l'experience , Cette phénomenologie doit etre définie comme l'étude des phénomènes ou d'un ensemble de phénomènes
Nous découperons se texte en trois parties ' Il y a des sciences pures [...] imaginaire" ( l 1 à 12 "Il en est autrement [...] équivalent" ( L 12 à 15)"Mais [...] ultimes fondements" ( L 15 à 20 ) afin de repondre au problème posé qui est maintenant de savoir si les mathématique ont une base essentiellement empirique (basé sur l'expérience) ou si leur fondement est idéal et se rapporte à une essence.

L 1 à 12 Mathématicien de formation, Husserl s'intéresse d'abord à la philosophie des sciences, notamment à partir de la question des objets mathématiques. Puis, frappé par les rapports entre logique et mathématique il en vient à étudier leur fondement commun . Dans cet extrait, il faut distinguer deux types de sciences. Tout d'abord les sciences de la nature, qui sont des sciences du fait, dont le fondement est l'expérience, et les sciences mathématiques qui portent sur des essences Puis, frappé par les rapports entre logique et mathématique il en vient à étudier leur fondement commun c'est pourquoi il nous explique que la géométrie est une science fondée sur les essences et non sur l'expérience.

Ainsi l' auteur nous présente les sciences basées sur l'essence et nous explique que le mathématicien ne fonde pas les objets dont il traite sur l'expérience sensible. , Husserl dit que