Iae l1 s1 (partie 3 - mr. henochsberg)
Boucle de multiplicateur
1 Processus auto-entretenu sur n période : ∆ Y revenu global = ∆I × 1 - c Le fondement de la théorie keynésienne, repose sur la façon dont les agents économiques envisagent l’anticipation (confiance qui est subjectif).
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Adam Smith (1723 – 1790)
Le 18ème siècle est un siècle de Lumières, c’est à ce moment la que l’individu apparaissent .Grâce au progrès technique cet individu va transformer la terre. Il devient donc le maître de son sort. C’est au 18ème siècle que la notion de la science économique émerge (la richesse peut s’obtenir). Adam Smith est considéré par beaucoup comme le véritable fondateur de l’économie et un maître à penser dont l’enseignement est toujours vivant. En 1758, à 35 ans (jeunesse), il publie son première ouvrage : “La Théorie des Sentiments Moraux”. Il tente d’y expliquer le paradoxe : l’homme n’a rien de bon, il est un loup pour l’homme, et il est capable de porter des jugements moraux, voire de se juger lui-même, pourquoi ? Adam Smith voit la réponse dans la capacité de l’homme à se placer en observateur et à prendre des distances vis-à-vis de lui-même. Pour Smith jeune l’individu est donc un sujet marchand : • • Sujet, car l’individu commet des actes responsables de commerce, de calcul, de rentabilité. Marchand, car l’individu est toujours dans un rapport d’échange avec les autres = liens sociaux.
Le point de départ de sa théorie est l’échange. Il parle ainsi d’ordre naturel et de laisser faire. Un autre ouvrage apparaît en 1776 (maturité) : “ La Richesse Des Nations”. Dans ce livre il vante les mérites du marché, mais il ne se fait guère d’illusions sur les rustres égoïstes que sont les industriels de l’époque. Il prône le libéralisme, condamne l’intervention gouvernementale, démontre que la liberté est la condition du