Il n'y a pas, au théâtre, il n'y a qu'un
Louis Jouvet soulève le dynamisme que requiert une représentation théâtrale de la part du spectateur, «l’acquiescement du public», «ses applaudissements» sont les réactions de sa part, il doit valider la représentation, l’aimer au point de traduire cette admiration de la représentation par des mouvements, des voix, des rires. Afin de soutenir sa thèse, l’auteur prend l’exemple du dramaturge Molière, qui lui aussi qualifiait le théâtre comme «le grand art». Jouvet transforme la formule de Molière en «l’art de plaire», c’est à dire un art qui doit se faire apprécier de son spectateur. Ainsi, pour Louis …afficher plus de contenu…
Cependant, l’auteur semble restreindre les fonctions du théâtre, il ne peut pas être destiné à seulement «plaire», il ne peut reposer entièrement sur cette caractéristique. Il est impossible que le théâtre ne puisse exister que par son «succès» et sa popularité auprès du spectateur, ce serait contredire les règles posées par le théâtre classique : «plaire, instruire,