Int Grit Referentielle
Source : Stephane Baret
I . Révision :
I.1. Le modèle relationnel
Une base de données relationnelle est constituée d’un ensemble de tables reliées entre elles.
Une table est un tableau dans lequel les lignes sont appelées les enregistrements (ou tuples) et l’intitulé des colonnes sont des champs.
A l’intersection d’une ligne et d’une colonne figure une valeur.
Exemples de tables :
Fig. 1 : Une table MS-Access
Fig. 2 : Une table MySQL
Complétez le tableau ci-dessous :
Fig 9
Fig 10
Nom de la table
GARCON
PRODUIT
Exemple de tuple
(1, “Sanne”, “Hubert”, 10/10/1960, “Le Sympa”)
(“CH003”,”Armoire L100…”, “montée à la mode…”,700,2)
Exemple de champ
Dossard, Prenom, Enseigne
Refproduit, proxttcproduit
Exemple de valeur
4, “Arnud”, “Michel”
700, “CH004”, “Lit 140x190cm”…
Au niveau relationnel, ces tables correspondent aux relations ci-dessous :
GARCON (Dossard, Nom, Prenom, DateNais, Enseigne)
PRODUIT (refproduit, designproduit, commentaireproduit, prixttcproduit, codegamme)
Ce mode de représentation est appelé « en intention », il représente la structure de la base de données (son schéma, son plan…).
Au niveau relationnel, on parlera aussi d’occurrences pour désigner les enregistrements et d’attributs pour parler des champs.
Synthèse :
Complétez le schéma ci-dessous :
Comment écrit-on une relation en intention :
II. Attributs et clés
Un attribut est une information, une donnée élémentaire, une rubrique désignant le plus petit élément d’information manipulable. Il est caractérisé par un nom et un type.
Exemples :
Nom de l’attribut :
Type de l’attribut :
Exemple de valeur :
Nom de l’attribut :
Type de l’attribut :
Exemple de valeur :
Soit la relation LECTEUR (NomLecteur, PrenomLecteur) et le contenu de la table correspondante :
Fig. 3 : Table lecteur
Que pensez-vous de l’exemple ci-dessus ?
La présence d’un homonyme (le lecteur BERTRAND) ne permettra pas d’identifier de manière certaine un lecteur.
Il faut définir une